L’industrie nucléaire génère une multitude de déchets radioactifs, dont certains restent dangereux pendant des milliers, voire des millions d’années. AREVA prétend qu’ils seraient "recyclables", en réalité ils ne le sont quasiment pas et personne ne sait quoi en faire. Il est totalement irresponsable de léguer à nos descendants, pour des centaines de générations, la gestion de ces déchets toxiques. Nous devons sans plus tarder arrêter d’en produire.
Revue "Sortir du nucléaire"
La facture nucléaire
Ou qui va payer la retraite des centrales nucléaires ?
La gestion des déchets nucléaires et du démantèlement est un enjeu environnemental majeur. Défi technique et scientifique, éthique et social, c’est aussi un défi économique et financier sans précédent. Dans la revue "Sortir du (...)
Revue "Sortir du nucléaire"
Somalie : après le tsunami, un malheur n’arrive jamais seul
C’est dans un des pays les plus pauvres du monde, en proie à une sanglante guerre interethnique depuis de longues années, que des entreprises occidentales ont choisi de se débarrasser clandestinement de leurs déchets les plus dangereux, tout en sachant qu’aucun système de gestion de ces (...)
Vidéos
Tsunami Somalie : déchets radioactifs échoués
Le tsunami a violemment bousculé des dépôts sauvages de produits toxiques et même radioactifs déversés sur les plages somaliennes par des industriels du Nord. Mal conditionnés, les containers fuient, depuis le passage du raz-de-marée. Le PNUE observe l’apparition de maladies nouvelles dans les (...)
Revue "Sortir du nucléaire"
Déchets
2005, une année capitale. Mobilisons-nous pour refuser d’enfouir le problème !
“S’il n’y a pas de solution au problème des déchets, l’industrie nucléaire mourra d’occlusion intestinale. [...]
Sans réponse à cette question, je crois qu’il faudra arrêter le développement de l’énergie (...)
Revue "Sortir du nucléaire"
Déchets nucléaires : ne pas les banaliser, et surtout arrêter d’en produire !
Les grandes manœuvres question déchets ont commencé. Une série de rapports doit tomber tout au long de l’année 2005 pour lancer le débat (début 2006 ?) sur les choix de gestion des déchets nucléaires, selon le calendrier de la loi Bataille : en mars remise aux députés (par le même Bataille) du (...)
Revue "Sortir du nucléaire"
Avec la transmutation, lalchimie peut-elle nous délivrer des déchets nucléaires ?
La filière électronucléaire a été lancée, dans l’enthousiasme, voilà quarante ans, sans avoir de solution acceptable pour les déchets produits et bien sûr aucune idée de ce qu’il en coûtera aux générations à venir.
Quarante ans après, pour faire accepter la perspective d’une seconde (...)
Revue "Sortir du nucléaire"
Appel à solidarité après la condamnation de deux activistes
Le 29 août 2001, dans le cadre d’une action internationale à Homburg (Sarre, Allemagne), impliquant 20 militants (allemands, français et luxembourgeois) contre un transport de déchets radioactifs, un Français et un Allemand se sont enchaînées sous les rails. Cette action visait à médiatiser le (...)
Revue "Sortir du nucléaire"
Le trafic secret de plutonium en France !
L’équivalent de centaines de bombes nucléaires sur l’autoroute du soleil
Le plutonium, un déchet proliférant et radiotoxique :
Elément artificiel créé au moment de la fission dans les réacteurs nucléaires, le plutonium est extrêmement radiotoxique. Inventé à son origine pour fabriquer (...)
Revue "Sortir du nucléaire"
Choisir entre géothermie et projet d’enfouissement de déchets nucléaires
La découverte de ressources géothermiques dans la région de Bure et de ses alentours n’est pas nouvelle. Elle a fait l’objet de rapports d’inventaires des ressources géothermiques du Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM) pour la région Champagne Ardenne en 1979 et pour le (...)
Documents de référence
La Meuse face aux déchets radioactifs - La posture d’Attila
AEMHM - Ludovic Faber
L’implantation du laboratoire dans la Meuse a pour objectif de confirmer ou d’infirmer la possibilité d’un stockage de ces déchets hautement radioactifs. A l’heure actuelle, aucun pays dans le monde n’a encore eu recours à ce type de procédé. Il risque de revenir à la (...)