Faire un don

Plus que jamais, l’industrie nucléaire profite de la lutte contre le réchauffement climatique pour se présenter comme une alternative aux énergies fossiles. Ni propre, ni décarbonée, l’énergie nucléaire n’est pourtant pas une solution miracle. Avec les énergies renouvelables et les économies d’énergie, nous ne sommes plus contraints de devoir choisir entre charbon et nucléaire. Découvrez pourquoi et comment.


Action réussie à Sciences Po contre Jean-Bernard Lévy, le PDG d’EDF !

Article publié le 16 novembre 2015



Le 12 novembre 2015, nous étions une bonne vingtaine à nous rendre à la conférence que donnait Jean-Bernard Lévy (PDG d’EDF) à Sciences Po sur "le rôle de l’électricité pour préparer le monde décarboné de demain".



Six militants avaient réussi à avoir des invitations pour participer à la conférence, ils se sont donc introduits avec des pipos, l’arme suprême des J.E.D.I. for Climate pour couper le sifflet aux pourris !

Dès que Jean-Bernard Lévy a ouvert le bec pour diffuser sa propagande pro-nucléaire, un militant s’est levé et lui a lancé un "tiens, je crois qu’on nous joue du pipo". Tous les autres militants présents se sont alors levés, ont joué du pipo et chanté "EDF pipote la COP". Ils se sont faits sortir au bout de quelques minutes. Heureusement, un étudiant de Sciences Po appartenant aux J.E.D.I.. était resté calmement à l’intérieur jusqu’au moment des questions du public. Il a pu interpeller Jean-Bernard Lévy sur le coût du nucléaire, le traitement des déchets et sur la fermeture de Nexcis (entreprise photovoltaïque).

Pendant ce temps, à l’extérieur du bâtiment, une quinzaine de militant avaient déployé deux banderoles "Le nucléaire ne sauvera pas le climat" et "Don’t nuke the climate" et diffusaient des tracts à toutes les personnes qui sortaient de Sciences Po. Bien évidemment, nous avons aussi joué du pipo et chanté en attendant la fin de la conférence... Un joyeux bazar contre le nucléaire !

Un peu avant 20h45, un groupe s’est rendu de l’autre côté du bâtiment de Sciences Po pour être bien certain de pouvoir interpeller le PDG d’EDF à sa sortie, car on se doutait bien qu’il n’emprunterait pas la sortie principale pour ne pas avoir à se confronter aux militants... Et nous avons réussi à l’interpeller avant qu’il ne s’engouffre dans son véhicule.

Une opération réussie malgré la très forte présence de vigiles qui fouillaient toutes les personnes à l’entrée de l’école..

Six militants avaient réussi à avoir des invitations pour participer à la conférence, ils se sont donc introduits avec des pipos, l’arme suprême des J.E.D.I. for Climate pour couper le sifflet aux pourris !

Dès que Jean-Bernard Lévy a ouvert le bec pour diffuser sa propagande pro-nucléaire, un militant s’est levé et lui a lancé un "tiens, je crois qu’on nous joue du pipo". Tous les autres militants présents se sont alors levés, ont joué du pipo et chanté "EDF pipote la COP". Ils se sont faits sortir au bout de quelques minutes. Heureusement, un étudiant de Sciences Po appartenant aux J.E.D.I.. était resté calmement à l’intérieur jusqu’au moment des questions du public. Il a pu interpeller Jean-Bernard Lévy sur le coût du nucléaire, le traitement des déchets et sur la fermeture de Nexcis (entreprise photovoltaïque).

Pendant ce temps, à l’extérieur du bâtiment, une quinzaine de militant avaient déployé deux banderoles "Le nucléaire ne sauvera pas le climat" et "Don’t nuke the climate" et diffusaient des tracts à toutes les personnes qui sortaient de Sciences Po. Bien évidemment, nous avons aussi joué du pipo et chanté en attendant la fin de la conférence... Un joyeux bazar contre le nucléaire !

Un peu avant 20h45, un groupe s’est rendu de l’autre côté du bâtiment de Sciences Po pour être bien certain de pouvoir interpeller le PDG d’EDF à sa sortie, car on se doutait bien qu’il n’emprunterait pas la sortie principale pour ne pas avoir à se confronter aux militants... Et nous avons réussi à l’interpeller avant qu’il ne s’engouffre dans son véhicule.

Une opération réussie malgré la très forte présence de vigiles qui fouillaient toutes les personnes à l’entrée de l’école..