Il est suspecté de « diffusion d'informations trompeuses » et de « présentation de comptes infidèles » dans l'enquête qui porte sur le rachat de cette exploitation d'uranium, en 2007, pour 1,8 milliard d'euros. L'opération s'était avérée désastreuse pour Areva.
Mercredi, déjà, l'ancien coprésident du comité d'audit d'Areva, René Ricol, avait été placé sous le statut intermédiaire de témoin assisté. Jeudi, c'est Gérald Arbola, ex-numéro deux du (...)