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Un peu d’humour - La déclaration que nous aurions pu faire si le changement avait réellement été maintenant !

Article publié le 7 mai 2015



29 ans après la catastrophe de Tchernobyl et 4 ans après celle de Fukushima, le Réseau "Sortir du nucléaire" se félicite par cette déclaration de commémorer le 3ème anniversaire de la fermeture de la centrale de Fessenheim.

Comme chacun le sait, elle a eu lieu dans les jours suivants l’élection de François Hollande le 6 mai 2012, ainsi que le prévoyait l’accord électoral entre le PS et EELV. Le Réseau "Sortir du nucléaire" appelle les militants antinucléaires et tous les citoyens hostiles à la production insensée d’électricité d’origine nucléaire à se réjouir que la promesse numéro 41 du candidat Hollande de fermer Fessenheim aient été rapidement traduits dans les faits. Cet accord politique stipulait noir sur blanc "un plan d’évolution du parc nucléaire existant prévoyant la réduction d’un tiers de la puissance nucléaire installée par la fermeture progressive de vingt-quatre réacteurs, en commençant par l’arrêt immédiat de Fessenheim".

Nous sommes fiers que la célérité de la France ait été prise en exemple par l’ex-Première ministre québécoise, Pauline Marois. Candidate non écologiste à ce poste, elle avait également pris l’engagement électoral de fermer immédiatement la seule centrale nucléaire du Québec dès son éventuelle accession au pouvoir. Ce qu’elle fit lors de son premier conseil des ministres en septembre 2012.

29 ans après la catastrophe de Tchernobyl et 4 ans après celle de Fukushima, le Réseau "Sortir du nucléaire" se félicite par cette déclaration de commémorer le 3ème anniversaire de la fermeture de la centrale de Fessenheim.

Comme chacun le sait, elle a eu lieu dans les jours suivants l’élection de François Hollande le 6 mai 2012, ainsi que le prévoyait l’accord électoral entre le PS et EELV. Le Réseau "Sortir du nucléaire" appelle les militants antinucléaires et tous les citoyens hostiles à la production insensée d’électricité d’origine nucléaire à se réjouir que la promesse numéro 41 du candidat Hollande de fermer Fessenheim aient été rapidement traduits dans les faits. Cet accord politique stipulait noir sur blanc "un plan d’évolution du parc nucléaire existant prévoyant la réduction d’un tiers de la puissance nucléaire installée par la fermeture progressive de vingt-quatre réacteurs, en commençant par l’arrêt immédiat de Fessenheim".

Nous sommes fiers que la célérité de la France ait été prise en exemple par l’ex-Première ministre québécoise, Pauline Marois. Candidate non écologiste à ce poste, elle avait également pris l’engagement électoral de fermer immédiatement la seule centrale nucléaire du Québec dès son éventuelle accession au pouvoir. Ce qu’elle fit lors de son premier conseil des ministres en septembre 2012.



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