Le groupe EDF a plaidé mercredi, devant la cour d’appel d’Orléans, que le suicide en 2004 d’un technicien de la centrale nucléaire de Chinon (Indre-et-Loire) n’était pas lié à une "maladie professionnelle" mais à des causes plus personnelles.
En 2005, la Caisse primaire d’Assurance Maladie (CPAM) de Tours avait qualifié de "maladie professionnelle" le suicide de Dominique Peutevynck, 49 ans, qui s’était jeté sous un train.
La CPAM avait estimé que ce suicide présentait "un lien (...)