Paris (AFP) – Distribuer des tracts pour Greenpeace ne lui suffisait plus, alors Maxime a décidé de passer « à la vitesse supérieure » : devenir « activiste », quitte à violer la loi en pénétrant sur le site d’une centrale nucléaire.
Il y a douze ans, ce cadre de 35 ans qui souhaite rester anonyme s’engage avec l’ONG de défense de l’environnement. Il donne de l’argent, distribue des tracts contre les OGM ou le nucléaire.
Mais « au bout de deux ans, je me suis dit, au rythme où va (...)