Le plan de développement énergétique ontarien, axé sur le nucléaire, fait peser une menace plus élevée sur Montréal que sur Toronto en cas d’accident ou d’attentat terroriste. La porte-parole du Sierra Club du Canada, un l’organisme écologiste ontarien, soulève cette question dans une entrevue au quotidien Le Devoir .
Les vents dominants d’ouest, qui poussent la pollution atmosphérique de la région de Toronto vers le Québec et le nord des États-Unis, souffleraient les retombées d’un (...)