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L’EPR en bref

L’EPR ne permettrait pas à la France d’accroître son indépendance énergétique et de se protéger de la hausse des prix du pétrole

Article publié le 6 septembre 2012



 Plus aucune mine d’uranium n’est exploitée sur le sol français. L’uranium utilisé par l’EPR et dans toutes les centrales nucléaires françaises est importé à 100 %. Ces importations fragilisent la sécurité d’approvisionne- ment énergétique.

 La place du nucléaire dans le bilan énergétique français est toujours exa- gérée : l’électricité ne représente que 22 % de la consommation d’énergie finale (l’énergie qui arrive au consommateur) et la contribution du nucléaire à celle-ci est donc d’environ 17 % .

 La dépendance de la France vis-à-vis du pétrole est la même que celle de ses voisins européens et se situe dans la moyenne européenne : en 2004, la consommation de pétrole par habitant a été de 1,52 tonne, pour l’Allemagne comme pour la France.

 Le secteur le plus vulnérable vis-à-vis du pétrole est le secteur des trans- ports : il représente 53 % de la consommation totale de pétrole et il dépend pour 95 % des produits pétroliers.

Une moindre dépendance énergétique et en particulier pétrolière repose sur :
 des économies d’énergie dans tous les secteurs (sobriété et efficacité).
 un changement radical de la politique des transports en développant rapidement les modes de transports "doux" (le vélo et la marche), les transports collectifs et le train pour le déplacement des personnes et les transports de marchandises.
 le développement des énergies renouvelables pour les usages thermiques et électriques.
 relocaliser les productions et développer des circuits courts en favorisant la production au plus proche des lieux de consommation.

 Plus aucune mine d’uranium n’est exploitée sur le sol français. L’uranium utilisé par l’EPR et dans toutes les centrales nucléaires françaises est importé à 100 %. Ces importations fragilisent la sécurité d’approvisionne- ment énergétique.

 La place du nucléaire dans le bilan énergétique français est toujours exa- gérée : l’électricité ne représente que 22 % de la consommation d’énergie finale (l’énergie qui arrive au consommateur) et la contribution du nucléaire à celle-ci est donc d’environ 17 % .

 La dépendance de la France vis-à-vis du pétrole est la même que celle de ses voisins européens et se situe dans la moyenne européenne : en 2004, la consommation de pétrole par habitant a été de 1,52 tonne, pour l’Allemagne comme pour la France.

 Le secteur le plus vulnérable vis-à-vis du pétrole est le secteur des trans- ports : il représente 53 % de la consommation totale de pétrole et il dépend pour 95 % des produits pétroliers.

Une moindre dépendance énergétique et en particulier pétrolière repose sur :
 des économies d’énergie dans tous les secteurs (sobriété et efficacité).
 un changement radical de la politique des transports en développant rapidement les modes de transports "doux" (le vélo et la marche), les transports collectifs et le train pour le déplacement des personnes et les transports de marchandises.
 le développement des énergies renouvelables pour les usages thermiques et électriques.
 relocaliser les productions et développer des circuits courts en favorisant la production au plus proche des lieux de consommation.



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