Sur la presqu’île d’Olkiluoto, dans le sud-ouest de la Finlande, on accourt du monde entier : des ingénieurs chinois et sud-africains, des responsables américains d’entreprises d’électricité, des spécialistes de la sûreté nucléaire britannique, des journalistes de tous horizons. L’attraction ? Le chantier du premier EPR (European pressurized reactor), le réacteur de troisième génération du consortium franco-allemand Areva-Siemens, qui symbolise, à lui seul, la relance du nucléaire en (...)